jeudi 2 février 2023

Distribuer le courrier ou des colis.

J'ai une expérience de quelques mois dans ce domaine. J'ai pu m'apercevoir que distribuer dans un secteur que vous ne connaissez pas est très difficile: vous distribuez 10 ou 15 colis alors que vous devriez normalement en distribuer 40.

J'ai rapidement  arrêté d'utiliser les logiciels qu'on ma fournis. Ceux qui sont destinés à faciliter l'orientation dans la ville ou la campagne.

J'ai finit par fabriquer mes propres cartes et les apprendre.

Mais dans le cas ou je me trouvais en terrain inconnu, il m'est arrivé de faire appel à Maps de Google. J'ai recherché manuellement chaque adresse que j'ai enregistrée. Je me suis donc trouvé avec un ensemble de points géographiques sur la carte que je n'avais qu'à choisir pour obtenir l'itinéraire. Un tracé du parcours déjà effectué aurait pu aider à trouver le prochain point de distribution.

J'ai trouvé cela plus "pratique" que le logiciel que l'on m'avait fournis. 

On aurait pu générer cet ensemble de points directement avec la liste des colis enregistrés pendant la préparation de la tournée tout en ayant la possibilité de la modifier.

Ce qui devrait peut-être constituer une amélioration: 

--Ne pas être obligé de rester  dans le parcours idéal calculé par le logiciel: Si on ne connais pas le secteur on a probablement eu des problèmes pour classer les colis dans le véhicule. On peut donc deviner et rattraper un oublis du à un mauvais classement sans à avoir faire un gros détours.

-- On peut intégrer en cours de tournée  un colis qui n'a pas été enregistré dans la tournée.

-- Garder une vue d'ensemble du parcours pour pouvoir prendre des décisions et le modifier. 

Je reste persuadé qu'il faut avoir à la fois des cartes électroniques, mais aussi des  cartes imprimées standard et des cartes spécialisées ne respectant pas les distances, des schémas qui mettent en priorité la lisibilité des noms et des numéros de rues (un gros problème sur Google Maps). 

Il y a aussi d'autre problèmes qui font irruption à chaque fois que l'on automatise: ce sont les contraintes ajoutées. Cet ajouts de contraintes est parfois nécessaire pour lutter contre la corruption mais on sais qu'il arrive un point ou la lutte contre la corruption coute plus chère que la corruption elle même. 

Si l'automation n'est la que pour augmenter la productivité, il ne faut pas que les contraintes supplémentaires diminuent trop ou même annule les gains supposés. Par exemple scanner le colis une première fois pour créer la  tournée puis une deuxième fois pour organiser le trajet. 

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