Là encore j'enfonce une porte ouverte, pourtant aujourd'hui les scientifiques ont du mal à trouver du personel pour prendre la relève.
J'ai quelque fois assité à des séances de vulgarisation et constaté que -pour probablement suciter des vocations- certain scientifiques n'hésitaient pas a exposer des chiffres astronomiques et les résutats époustouflants des théories dans le but d'impressioner l'assistance.
J'aurais parfois préféré que l'on m'exposes des faits enigmatiques qui suciste la curiosité et j'aurais été probablement beaucoup plus impressioné si l'orateur avait porté une belle mini-juppe couvrant partiellemt de très belles jambes! Dommage que les hommes pardonnent rarement aux femmes d'être à la fois belles, intelligentes et cultivées.
Les vulgarisateurs devraient peut-être cibler le public qu'ils cherchent à toucher. Les étudiants dont la vocation sera basée sur la curiosité et le grand public qui doit comprendre l'importance des chercheurs et des crédits qu'ils leur sont octroyés.
Les chercheurs utilisent-ils des experts en communication, ont-ils étudié l'impact de leur campagne de communication dans le but de l'améliorer?
Autrement dit il faudrait peut-être éviter de présenter aux étudiants qu'ils prospectent des résultats qu'ils sont cencé trouver eux même et suciter discrètement le pur plaisir de la découverte même humble, même si c'est une redécouverte. Etudier les méchanismes psychologiques utilisés dans la publicité. Même les gens intelligents sont influencés par la pub, le sexe et l'humour.
Pour l'étude de l'impact on pourrait peut-être utiliser une bibliothèque avec des ouvrages non scolaires parlant des théories qui ont été évoquées, des club ayant pour thème la science et techniques scientifiques ou même proposer des abonements à des sites internet.Ains on pourrait controller les variations de fréquentation en liaison avec les séances de vulgarisation. Ces sites internet pourraient aussi continuer à influencer et encourager les participants par de la publicité adapté à cet effet. Sans compter que ces outils d'analyse pourraient permettre des faire une préselection de candidats qui pourraient être l'objet - en collaboration avec les professeurs - d'un traitement spécial.
Finallement je vais me laisser aller complètement pour rire : pourquoi ne pas utiliser une bonne séance d'hypnose pendant les séances de vulgarisation pour les persuader malgré les moyens mis à disposition et les perspectives de salaire des chercheurs en France?
On m'a souvent reproché d'avoir quitté l'école, j'estime avoir le droit de répondre de la manière la plus constructive possible en faisant un inventaire de ce qui déjà été tenté - peut-être ailleur - depuis mes dernières séances de vulgarisation ( j'ai 50 ans).
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