Je reçois un courriel:
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J'ai encore du boulot pour le style (c'est la seule chose que je veuille retenir de lui). L'enflure c'est moi: souverainement pontifiant. Avertissement
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Everybody knows that I don't miss an opportunity to make a fool of myself.
That is why I am exposing this problem:
This property (countable) is normally accepted by proving that the subset of R (real number) , D= [0,1] is not countable.
Nobody would dare to contradict it (Cantor proof!).
But I am on the verge to loose what is left of myself-confidence because I don't find what is wrong in this proof:
First, we know that the set N²= {(n,m), n and m belong to N } is countable . (SCHAUM The algebra of sets Chap 2 p 46).
Next we can map any number that belong to D with N² (it must be the weak part):
0,001035 =1035 10E-6 that can be mapped with (1035, 6) of N².
So how is it that D isn't countable?
What is wrong in my reasoning?
I am not completely dumb so I should soon or later find the answer!
haqueoui!
We can continue the foolishness with this :
We can construct any element of R by picking an element in N and in D:
if x= 250,001035 the we need 250 in N and 0,001035 in D.
So we can map any element of R with NxD.
Because D is countable, we can map it again with (NXN).
And N² being countable so is R.
Parfois j'ai un doute (surement du à mes tendances paranoïaques) que certains membres des services de santé essayent de transformer mon compte en un compte le plus couteux possible pour la sécurité sociale et pour ma mutuelle.
Et je pose donc cette question:
Les assurance attribuent-elles à un assuré une note qui concerne le cout en général de cet assuré et une note concernant la déviation du cout par rapport au cout moyen des soins pour une affection donnée?
De plus ces notes ont-t-elle un effet sur la décision par les assureurs de prendre ou non en charge un soin future?
Dans ce cas il pourrait-y-avoir une intention de nuire et d'empêcher des soins futures de la part de certain soignant et même de fournisseur de matériel. Ou la tentation d'utiliser un compte bien noté pour augmenter le chiffre d'affaire ou les marges bénéficiaires.
De plus je déplore que autant du côté du CPAM et des mutuelles nous n'ayons pas les moyens de rapprocher les remboursements consultables par internet avec les ordonnances qui ont été remises et les factures émises par les médecins.
Je suis probablement très incompétent en ce qui concerne mes droits et les précautions que je dois prendre pour éviter de me faire baiser par les différents services de santé.
Qui consulter et quel document traitent du sujet?
Prenons trois proposition logiques A ,B ,C.
Si A est vraie alors cela veut dire que l'événement (a) a lieu, idem pour B et (b) et C et (c).
Maintenant supposons qu'un lien puisse exister entre les événements (a), (b) et (c).
Par exemple les trois événements pourrait arrivent à une date/heure commune que l'on peut identifier à l'avance. mais cela pourrait être aussi une maladie ou tout événement physique.
Il pourrait être possible que l'événement (c) empêche la lecture de (a) ou (b).
La lecture uniquement de (c) peut-elle me permettre d'avoir une idée plus précise de la
relation entre (a) et (b)?
Si par exemple on avait un lien de causalité possible entre A et B (implication A==>B ) alors si on considère C comme le résultat logique d'un opération sur A et B, n aurait une chance sur trois que C soit vraie à cause des tables de vérités logique qui comportent dans ce cas trois valeur Vraie et une seule valeur Fausse pour l'implication.
Le premier inconvénient c'est qu'on aura aussi C vrai dans trois cas si B ==> A, si A ou B, si A nand B sont vrai!
En plus si les résultat Vrai ou Faux sont remplacé par des probabilité on peut se demander quelle probabilité on devrait attribuer à C grâce à une opération logique.
Cela fait beaucoup de "restrictions" en série! Mais il existe peut être champ d'application pour une telle méthode.
Peut-être que je me ridiculise? Je ne pense pas faire beaucoup de mal dans cette éventualité.
A mon avis d'autre informations devraient être disponibles pour clarifier la situation et la nature des événement (a),(b),(c).
Donc la définition logique de ( A ==> B ) se fait grâce à des tables de vérité (V = Vrai et F= Faux):
A B A==>B
F F V
F V V
V F F
V V V
Il y donc quatre cas, et l'implication est vraie dans 3 cas sur 4 et fausse dans un seul (A=V, B=F). Si on considère que chaque ligne est équiprobable, chaque cas a une probabilité de 1/4 et donc la probabilité que A==>B est vrai est de 3/4.
J'inclus une table de vérité pour montrer que c'est le cas de trois autres opérations logiques: ( B ==> A ), ( A NAND B ) et ( A ou B ).
Une étude plus poussée montre que A est vrai deux fois sur quatre et idem B. Donc P(A) = P(B) = 2/4 = 1/2.
Les événements A et B sont indépendant (sans liens de causalité) comme le montre le calcul ci-dessous basé sur les formules
P(A/B) = Probabilité de A (est vrai )si B (est vrai) ,
P(AB) = Probabilité de A vrai et B vrai en même temps),
P(A/B) = P(AB) / P(B),
On P(AB) = 1/4 et P(B) =1/2 donc P(A/B) = (1/4) / (1/2) = 1/2 de même P(B/A) = 1/2
Donc on a P(A/B)=P(B/A)=P(A)=P(B).
Ce qui veut dire dans ce cas que A et B sont indépendant ou n'ont aucune influence l'un sur l'autre. Dans ce cas pourquoi l'implication a elle une probabilité de 3/4?
C'est peut être la raison pour laquelle tant des fausses déductions son faites par le commun de mortels et pourquoi les fausses déductions sont tant utilisées par les hommes politiques!
Faisons maintenant le calcul de probabilité de A==>B ou P(A==>B) = P(Non A ou B)
P(Non A ou B) = 1 - P(Non( Non A ou B)) = 1- P( A et Non B)
Cela me permet de réviser et d'essayer d'appliquer mes connaissances autrement que par les exercices du livre. On pourrait par exemple calculer la probabilité -qui existent peut-être déjà- que si une personne a des tendances pédophiles alors elle va commettre un crime pédophile. Je vais essayer de collecter les statistiques nationales. Tout cela pour éviter des déductions hâtives et évaluer les risques d'erreurs! Un échantillonnage particulier est parfois préféré pendant les ''gabegies'' pour les gens qui ne font pas confiance au mathématiques. On ne sait jamais vraiment à qui on a à faire!
On reprend P(A/B) = P(AB) / P(B) mais en remplaçant B par Non B:
P(A/Non B) = P(A et Non B) / P(Non B). Ce qui donne P (A et Non B ) = P(A/Non B)* P(Non B)
Mais quelle valeur pour P(A/non B) probablement 1- P(A/B) ou si on fait le calcul complet.....
Mais cela n'est pas nécessaire car A et B sont indépendant comme A et Non B,
donc P(A et Non B)= P(A) * P(Non B)= 1/2 * 1/2= 1/4
et finalement P(Non A ou B ) = 1 - 1/4= 3/4 = P (A ==> B)
Ouf ! Cela devrait être juste, puisqu'on obtient le résultat de deux manières différentes.
J'en connais qui vont dire que j'ai un niveau Quant pour conseiller les traders en plein dégonflage de la bulle financière de l'IA et donc que je ne dois plus travailler comme retraité. C'est du gâchis! Finalement ils diront que je devrais être chef de projet Trading/Quantique! Rien avoir avec la physique Quantique.
Ce qui est intéressant, mais je ne sais pas sur quoi cela va déboucher, c'est que toute la démarche mathématique utilise beaucoup l'implication logique. Donc que va-t-il se passer si les probabilité de A et B ne sont pas uniforme. Comment va évoluer la probabilité de A==>B par exemple, mais pas seulement puis que toute la logique est basée sur des ET des OU et des NON et des parenthèses?
Comment un langage mathématique ou autre va-t-il évoluer, se simplifier, se complexifier?
A suivre...
Supposons que j'attribue à chaque élément d'un ensemble un nombre premier. En informatique j'aurais pour chaque clef qui identifie une ligne de table SQL un nombre premier unique attribué.
Maintenant pour identifier le contenu de l'ensemble ou de la table je créer un nombre qui est le produit de tout les nombre premiers attribués à chaque éléments de cet ensemble. Ce produit est attribué à l'ensemble et contient la liste des ces élément: sa décomposition en nombre premiers.
Si j'ai deux ensembles identifiés par un produit de nombre premiers:
Bien sur en cas de gros ensemble les nombres identifiant chaque ensemble seront très grand. Je n'ai pas fait d'étude de faisabilité pour l'instant.
Donc il m'est difficile d'évaluer l'utilité pratique d'une telle méthode.
Elle pourrait quand même être utile d'un point de vue théorique.
En espérant que ce poste aura des répercussions utiles ........ si cette méthode n'existe pas déjà.
Cette méthode pourrait être très utile dans le cas ou l'on enchaine des opérations sur les ensemble sans avoir immédiatement besoin d'en connaitre le résultat: il faut en effet faire une décomposition en nombre premier du nombre résultat des opérations pour connaitre le contenu de l'ensemble résultat.
Remarquez que avec les capacités mémoire que l'on a aujourd'hui on pourrait peut-être utiliser si le nombre de nombres premier nécessaires n'est pas trop grand une liste comportant pour chaque nombre sa décomposition en nombre premiers.
Il est même possible que de nouvelles méthode puissent être utilisée pour analyser des expression logiques complexes en attribuant à chaque proposition P un nombre premier p:
A=P1 ou (P2 et P3) <==> a=p1 * (pgcd(p2,p3)
<==> Si A est vide (a=1) alors A est toujours fausse sinon A est vraie.
?????? juste un premier jet.
Supposon que pour ajouter un élément à un ensemble je multiplie le nombre premier qui caractérise l'ensemble par le nombre premier qui caractérise l'élément sans contrôler si cet élément s'y trouve déjà: je vais me trouver avec nombre comportant des facteur à une puissance supérieur à un.
Exemple: 3^2,5,7,23.
Comment puis-je controller l'égalité de deux ensembles dans ce cas?
j'ai construit un algorithme pour cela (qui existe peut-être déjà!) dont j'expose le principe:
je détermine le PGCD des deux nombre caractérisant les ensembles:
A : 3^2 * 5 * 11^3 B:3^3 * 5 * 11^2
P0 = PGCD(A,B) = 3^2 * 11^2
j'extrait les facteur dans A et B qui ne sont pas dans le PGCD
A1= A/P0 = 5 * 11 et B1 = B/P0 = 3 * 5
je calcule le PGCD A1 et P0 puis le PGCD de B1,P0
PA1 = PGCD(A1, P0) = 11 et PB1= PGCD(B1,P0) = 3
j'extrait dans A1 et B1 les facteurs qui ne sont pas dans le PGCD de A et B:
A2 = A1/PA1 = 5 et B2= B1/PB1= 5
je calcule le PGCD de A2 et P0 puis de B2 et P0
PA2= PGCD(A2,P0) = 5 et PB2= PGCD(B2,P0) = 5
j'extrait dans A2 et B2 les facteurs qui ne sont pas dans le PGCD de A et B:
A3 = A2 /PA2 = 1 et B3 = B2/PA2 =1
Il n'y a pas dans A3 et B3 de facteur qui ne soient pas dans le PGCD de A et B
Les deux étant = 1 à un cela veut dire que A et B sont basés sur la même liste de nombre premiers.
A = P1^m * P2^n * ......* Pk^q et B = P1^r * P2^s * ......* Pk^v avec Pi nombre premier quelconque.
Les ensembles sont donc égaux .
Si a un moment les PGCD PXn=PGCD(PXn-1, P0) est égal à un pour A ou B cela veut dire qu'il existe un facteur premier non commun entre A et B et que les ensembles sont différents.
Je présente une ébauche non testée de cet algorithme en python:
#! /usr/bin/python
# -*- coding: utf-8 -*-
#--------------------------------------------------
'''
verfify if two number are based on the same set of primes
exemple a=3*3*3*2*2 and b=3*3*2*2*2*2 are besed on the same primes
peut être utilisé dans le cadre
'''
def gcd(a,b):
"""
The Euclidean Algorithm
"""
a = abs(a)
b = abs(b)
while a:
a, b = b%a, a
return b
def sameclasse(a,b):
"""
are a and based on the same set of primes
"""
P=gcd(a,b)
a1=a/P
b1=b/P
if a1 == 1 and b1 == 1:
return True
return sameclasse2(a1,b1,P)
def sameclasse2(a,b,P):
Pa=gcd(a,P)
Pb=gcd(b,P)
a1=a/Pa
b1=b/Pb
if a1 == 1 and b1 == 1:
return True
if gcd(a1,P) == 1:
return False
if gcd(b1,P) == 1:
return False
return sameclasse2(a1,b1,P)
if __name__ == "__main__":
#print (gcd(3*3*3*3*2*2,3*3*2*2*2*2))
print(sameclasse(2*2*2*3*3*5*7,2*2*3*5))
Et peut être une petite bibliothèque python avec l'outil d'opération sur les ensembles avec des nombre premiers
Elles sont la plupart du temps difficiles à configurer et mal documentées.
Pour simplifier le travail il y a la possibilité de connecter la radio à un PC et d'utiliser un programme qui permet une configuration beaucoup plus rapide et facile. Quand ces programmes sont compatibles et s'ils existent!
Il reste donc une nouvelle révolution à faire.
A la maison maintenant et depuis 20 minutes ils ne doivent pas supporter que je passe mon temps sur des conneries : le NanoVNA
J'entends une voix de femme oreille gauche.
"ils n'auraient pas dû l'envoyer chez upjohn il n'était pas de taille".
"j'en veux plus"
"il ne travaille pas assez"
"il ne programme plus"
"Il pourrait gagner 300€ par mois en travaillant comme chef de projet!"
Je suppose donc que le grand privilège de me retrouver avec 1000€ par mois ne me donne pas le droit de faire ce que je veux. C'est comme cela je pense que je n'ai pas touché depuis plusieurs année à EC.
Ec, ce programme fantastique qui a révolutionné la technique de parcours des arborescences!!!!!
Pour les imbéciles: Je déconne!
Imaginer des gens qui en permanence observent ce que je tape au clavier, me retourne des avis sur la très bonne qualité de mon pare feux! Regardent grâce aux caméras ce que je fais. Comptent le nombre de fois que je me masturbe et le temps passé à faire du travail intellectuel......Me retournent des réflexions qui ont été faites par des connaissances.
Tout cela c'est pour me protéger et m'aider.
Ils appellent cela la guerre hybride en zone grise. Entre autre ...... l'art de baiser ces alliers!
Un autre exemple: j'écris parcours avec un s, le correcteur orthographique de chrome me propose t , puis le mots se retrouve à nouveau souligné et me propose s.
Voilà c'est comme ça.