lundi 7 septembre 2020

Covid 19

Je reçois un appel téléphonique de la maison de retraite ou se trouve mon père: une animatrice employée par l'Ehpad avec laquelle j'ai participé à un repas a été testée positive au covid 19.

Je demande le nom de cette personne. Puis je consulte le site du gouvernement qui me donne le nom d'un Laboratoire d'analyse qui me redirige vers Doctolib pour prendre rendez-vous. "N'oubliez pas de remplir le formulaire", je suppose que bon nombre de personnes ont oublié. On comprends rapidement pourquoi une fois sur le site de Doctolib. Je les note 2 sur 5.

La raison la plus proche de mon cas que je dois cocher pour justifier le teste  est: "J'ai fréquenté un endroit ou une personne à risque". Cette personne étant en l’occurrence testée positive au Covid 19.

Doctolib me demande de m'inscrire en créant un mot de passe puis de remplir des informations (dont une date au format anglais Mois/jour/année) que je vais devoir renseigner à nouveau manuellement dans le formulaire. Dans ce formulaire la place réservée pour écrire le numéro de sécurité sociale et le numéro de téléphone et les remarques particulières me semble insuffisante.

Personnellement j'y vois à nouveau une preuve  du génie des Français en terme d'organisation: on aurait pu s'attendre à niveau de qualité bien supérieur pour une formalité importante. Facilité d'utilisation c.a.d  le nombre d'intervenants à contacter, le nombre de pages à consulter, le nombre de fois que chaque partie a à saisir la même information et donc le risque d'erreur et enfin  le délai de 24 heures pour obtenir un test.

J'en profite pour consulter l'application Stop Covid sur mon smartphone installée depuis plusieurs semaines et je découvre avec stupeur qu'elle n'a pas été activée. Comment ais-je pu oublier d'activer cette application après l'avoir installée? 

Tout ceci semble vouloir confirmer que les mesures qui sont prises le sont sans convictions, "pour se couvrir" comme me l'avait fait remarquer une fois un cadre de la fonction publique.

En tant de guerre certaines personnes montent au front et se font tuer, aujourd'hui beaucoup se contentent d'encaisser le chèque.

Aujourd'hui le 9 février 2021 des variantes plus dangereuses du virus devrait avoir pour réponse une meilleur protection. Il semble que les masques tissus ne seraient plus assez efficaces. Il faudrait mieux porter des masques à la norme N95 ou équivalents. 

Depuis longtemps je me suis posé la question sur le moyen d'améliorer ma sécurité en particulier au travail dans un environnement froid et humide souvent rencontré dans l'industrie agroalimentaire. Les masques de protection contre les produits dangereux sont probablement plus efficace que les masque chirurgiens N95 mais ils ont plusieurs défauts:

-- ils ne filtrent pas l'air qui est expiré.

-- ils ne sont pas assez protégés contre les projection d'eau (nettoyage) et l'humidité.

Il serait -à mon avis- pourtant facile d'améliorer les masques actuel (demi et intégral):

-- Le filtrage en sorti est facile à régler en ajoutant une fixation pour les mêmes filtres que les deux filtre d'entré. On aurait alors trois filtre sur le masque. Mais les filtres qui son seulement N95 ou légèrement au dessus sont très légers.

-- la protection contre la projection d'eau peut-être amélioré grâce à une chicane comme il existe sur les entré d'air sur les bateaux de navigation de plaisance.

-- Il est aussi possible d'améliorer le filtre en le doublant et en insérant une couche hydrophobe entre les deux.

J'aurais des moyens et du temps je pense qu'il serait peut-être possible d'utiliser un brevet existant ou même d'en créer un.

Pourtant en l'espace d'un an rien n'est apparu, est-ce une mauvaise idée?

 

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