dimanche 14 juin 2020

Protocole national sanitaire.

  • "Vous consommez trop de produit. Vous allez me détruire tout mon stock!".
  • "Il faut  vaporiser  juste un peux de produit sur la surface et rincer."
  • "Si le produit n'est pas assez étalé vous pouvez imbiber une lavette avec le produit et l'étendre avec la lavette."
  • "Normalement la lavette finit par s'imbiber de produit et vous pouvez l'utiliser pour faire les chaises et les interrupteur et loquets de portes."
  • "Vous pouvez aussi utilisez la lingette de rinçage pour désinfecter les chaises et les interrupteurs et loquets."
  • "Vous pouvez utiliser le balais coco pour faire les escaliers".
  • "Vous devez utiliser le balayage humide pour les sols"; "Mais que fait cette lingette en micro-fibre  sur ton chariot qui est utilisé pour le balayage sec?"," je l'utilise de temps en temps seulement".
  • "Moi je n'utilise pas de gants pour la désinfection des parties hautes" (Ph 11 équivalent à une solution de javel).
  • "Un vaporisateur de 750ml doit faire 3 jours" (6h->15h une heure de pause).
  • "On est obligé d'attendre".
  • J'observe une collègue et me il me semble qu'elle vaporise abondement certaines surfaces. Ce qui correspond aux premières instructions que j'avais compris. Certaines parties sont-elles plus  risquées et nécessitent-elles plus de produit?
  • "Je  fais les vitre avec du produits pour les sols ou se trouve le produit pour vitre?" "il y en a plus on prend du produit a vaisselle, ça fait mieux." "puis-je avoir du produit a vaisselle?" "je sais pas" "mais enfin, on me demande de faire les vitres , comment qu'je fais si j'ai pas de produit?". Finalement le collègue trouve un bidon de produit pour vitre dans la réserve.

Mois je suis en règle générale un gros consommateur de produit: je préfère en mettre trop que pas assez. Je me pose beaucoup de questions:

  • si je vaporise très peux de produit pour "économiser" alors je vois que la surface ne semble pas complètement imprégnée. Il y a comme des gouttelettes d'eau plus ou moins bien réparties sur la surface. Mais peut-être il y en a beaucoup d'autres, plus petites que je ne vois pas bien et qui suffisent à désinfecter la surface. Toutes ces gouttelettes grosses et petites vont-elles finir pas bien s’étaler sur la surface?
  • si j'étends le produits avec une lingette sèches ou imprégné de produit  (après plusieurs passages ou vaporisée) est-ce que je ne vais pas diminuer la quantité de produit sur la surface? Sera-t-il encore en quantité suffisante pour assurer une désinfection?
  • si le produit en faible quantité sur la surface sèche avant les 5 minutes recommandées pour laisser agir le désinfectant, alors la désinfection a-telle lieu normalement? Comment puis-je tester que le résultat est bon? D'ailleurs j'aimerai savoir si les 5 minutes sont nécessaires pour le détergent ou pour le désinfectant. Puis-je descendre en dessous si la surface est propre de salissures?
  • si j'utilise une lavette sèche pour essuyer le produit après les 5 minutes va-il rester trop de  produit sur la surface et cela risque-t-il de neutraliser un désinfectant de type alcoolique? 
  • Quelle est la compatibilité du produit avec les lingettes pré-imprégnées utilisées pour désinfecter les ordinateurs? 
  • si j'utilise le produit qui c'est déposé sur un lingette humide utilisée pour rincer  pour ensuite désinfecter des chaises, interrupteurs et loquets cela veut dire qu'il reste aussi du produit sur les  surfaces rincées et même les interrupteurs. Quel va être l'interaction si les utilisateur ont du gel alcoolique sur leur mains ou même désinfecte leur chaise avec du gel hydro-alcoolique? 
  • si je ne rince pas la surface après avoir lavé avec un produit à la fois détergent et désinfectant quel sont les conséquences pour les personnes dont la peau reste en contact avec le produit. Le risque couru est-il acceptable face au risque de re-contamination pendant le rinçage? J'en profite pour rappeler que plusieurs membre dans les institutions européenne ont subis des analyses de sang avec un inventaire de toute les substances qui les ont contaminé: tous ont des produits chimiques dans le sang qui proviennent des produit de nettoyage et même des micros-billes. Quelque part le rinçage n'a pas fonctionné! 
Je suis trop con! Je me pose des questions connes!

Enfin cela serait rassurant si on pouvait utiliser des produits compatibles avec les gels  ou les solutions hydro-alcooliques utilisées pour les mains et certaines surfaces hautes.

Moi je suis un amateur, et j'aime imaginer des solutions connes!:

  • lavages avec une lavette imprégnée de produit non désinfectant ou compatible avec l'alcool.
  • rinçage eau claire si nécessaire
  • pulvérisation d’alcool sur l'ensembles des surfaces ( sol y compris ) avec un pulvérisateur type jardinage. Ou utilisation d'un brumisateur.
  • supprimer les lavabos qui sont incrusté dans un planche car l'eau stagne autour du lavabo.
  • utiliser pour les interrupteurs, les poignées de porte et un maximum d'objets qui sont fréquemment utilisés par plusieurs personnes, des matières bactéricides/virucides. (je crois que cela existe pour du matériel utilisés par les dentistes).   
Je ne me fais pas d’illusion sur les solutions que je propose, mais je n'aime pas critiquer sans proposer de solutions.

Il doit y avoir peut-être quelques  inconvénients:

  • des risques d'incendies ( bien qu'il me paraisse difficile d’enflammer de l'alcool à 70° ).
  • des risques avec le matériel informatique. mais cela peut-être fait rapidement par l'utilisateur.  Surtout si plusieurs utilisateurs se partagent le même ordinateur. 
  • la personne pulvérisant l'alcool serait peut-être obligée de porter un masque intégrale.

Il doit y avoir peut-être quelques  avantages:

  • moins de temps d'attente puisque l'alcool agit en moins de 20 secondes et donc moins de contrainte d'organisation.
  • pas de nécessite de rinçage de l'alcool et donc de risque de re-contamination.
  • pas de problèmes de compatibilité entre produit. (sol, parties hautes, ordinateurs ).
  • alcool acheté en grande quantité, moins cher et plus facile à trouver. Idem pour détergent simple.
Courir plus  de risques pourrait être justifié à cause des enjeux. De plus un risque peut-être géré.

Les problèmes rencontré sont mondiaux et nouveaux, il pourrait donc y avoir des équipes de recherche nationales et internationales regroupant des chimistes, des professionnels du nettoyage, des chercheurs du privé. Les solution peuvent être améliorées constamment. Des dépôt de brevet pour des substances chimiques permettant de faciliter l’organisation  et la fiabilité du travail de désinfection pourrait rapporter des milliards de royalties. Et le problème n'est pas récent étant donné les risques d'infection provoquant la mort qui existent  depuis longtemps dans les hôpitaux.

Finalement les cadres ainsi que les exécutants pourraient être persuadés que le nouveau protocole est impossible à réaliser et que même si il était possible de le réaliser dans les temps impartis, il serait inefficace.

Dans  ce cas il faut s'attendre:
-- à des poursuites judiciaires menés par les syndicats.
-- à des poursuites judiciaires par les utilisateur des locaux pour mise en danger. (il semblerait que certains parents refusent déjà d'envoyer leur enfants dans les locaux).
-- à la non exécution  du travail (par les les agents titularisés)  ou à l'utilisation de leur propre méthode de travail dont personne ne pourrait prouver qu'elles sont moins efficaces que la méthode officielle. 

Selon mon expérience un agent de nettoyage se trouve parfois dans un situation où il doit prendre une décision. Par exemple je dois nettoyer du haut vers le bas. Je commence donc par le boitier pour les serviettes jetables puis la chasse d'eau puis le bidet. Comme il utilise une serviette pour étaler le produit détergent/désinfectant, il se peut qu'elle traîne par terre pendant un moment lorsqu'il étale le produit sur le bas du bidet  ou qu'il le rince. Vat-il contaminer une partie qu'il a déjà nettoyé? La solution serait d'avoir une lingette entièrement imprégnée de produit, mais pendant le rinçage? Il peut donc prendre la décision de nettoyer d'abord le sol contrairement à ce qu'indique le protocole. S'il pulvérise par erreur du produit prévu pour la table sur du matériel informatique que vat-il se passer lorsqu'il va utiliser un autre produit pour faire le matériel informatique?

Il a besoin de plus d'informations sur les produits qu'il utilise: produit pour les sol, produit pour les parties hautes, produit pour le matériel informatique, pour les vitres. Quel sont les temps de de réaction pour les  fonctions  détergente, virucide, bactéricide? Si je fais une erreur qu'elle sont les conséquences? Si je cherche l'information puis-je consulter un site prévue pour moi pour me renseigner?

Pou moi la compatibilités des produits est un problème crucial. L'utilisation de seulement deux produits compatibles: un détergent pur puis une désinfection à base d’alcools avec un brumisateur  semblerait être une solution qui résout beaucoup de problème et réduit de nombreux risques.

De plus on me remet une bouteille de 50cl de gel hydroalcoolique dont le bouchon articulé se casse dans la première journée d'utilisation. Puis je demande des gant long solides et résistant aux produits chimiques pour remplacer les gant cours qui sont prévu pour manipuler la nourriture et que les agents de nettoyage mettent en double. Les miens se déchire régulièrement  dans la première demi journée de même que les gant long que j'ai demandés en remplacement. Dois-je avoir confiance dans mon employeur? Dois-je amener mon propre matériel pour que le travail soit fait en sécurité? 

lundi 11 mai 2020

Le crime organisé.

La encore je suis loin d'être un spécialiste bien qu'ayant été condamné au pénal et au civil:
  • 2 mois avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve une seule année réellement effectué à cause de l'engorgement du service d'application des peines.
  • environ un an de salaire + les frais de justices au civil.
Certain diront que je suis juste un fou, un déséquilibré ou un marginal. La folie passagère semble être le sens de la condamnation et il y a en tout cas une anomalie constante de comportement ( l'expert désigné par le tribunal ma révélé un séjour en établissement psychiatrique pendant l'enfance que j'avais oublié ).
D'autre diront que je suis un mauvais criminel certain vont jusqu'à dire un très mauvais agent.

Le crime organisé existera-il toujours? Si on se base sur le passé et l'histoire les prévisions me semblent être très pessimistes. Il est partout et il est de type crapuleux ou  politique et destiné aussi à défendre les intérêts de différentes communautés, y compris les états. Autant dire que le problème est complex car la motivation peut avoir diverses origines pas toujours faciles à discerner.

On pourrait peut-être diminuer fortement ce crime en augmentant fortement les moyens financiers de le combattre. Le coût pour la société serait alors aussi un coût humain qui pourrait causer une explosion sociale. 

Il semblerait donc qu'il faut essayer de maintenir un certain équilibre entre trop grande répression et trop grand laxisme. Le crime (organisé ) va donc rester toujours présent et représente un risque constant de déstabilisation de l'état. Suivant  les sources  1,5 à 3 % du PIB mondial serait généré par des activités criminelles et pas loin de 15% du PIB mondial serait sous le contrôle d'organisation criminelles qui sont très bien intégrées dans le marché mondiale et la finance.

Une des manière possible de protéger l'état contre le crime organisé est de le contrôler. Bien sur, si cela a eu lieu, il peu probable que l'état s'en vante. Pourtant, favoriser et protéger  une faction que vous contrôlez bien -même temporairement- permettrait  d'empêcher que les autres factions se développent (comme on contient un cancer sans l'éliminer complètement). Ou  éviter en particulier qu'une faction émergente contrôlée par un état étranger prenne le dessus. L'infiltration semble être un moyen des plus probables de contrôle des réseaux de crimes organisés puisque cela permet de couvrir le veritable opérateur. Ce crime peut même servir de bras armé de l'état dans son propre territoire et surtout bien sur à l'étranger.

Après avoir évoqué ce problème avec une amie dans un restaurant j'entends deux jeunes parler entre eux en sortant d'un tramway: "Je te l'avais dit, ta pas choisit le bon camps! Ta aucune chance de prospérer avec eux". C'est peut-être juste avant que j'ai "perdu" mon téléphone portable à 160€!

A propos de ce traçage de mes déplacements je ne manque pas non plus de démarchage commercial pour des produits sexuels.

Cela voudrait  dire que si un criminel a réussit à survivre et  a un bon savoir faire, il peut toujours faire acte de candidature pour devenir une sorte de ..... fonctionnaire avec hébergement gratuit! Cela pourrait être une bonne idée pour une saga criminelle originale au cinema. 

On pourrait aussi parler du crime financier (blanchiment) et la nécessité qu'a parfois l'état de laisser utiliser et capter l'argent sale (moins chère) pour rester compétitif. En effet pourquoi laisser un pays étranger bénéficier de l'argent sale qui a été produit sur son propre territoire au dépend du fisc? Je suppose que des services dédiés remplis d'agents de l'état existent dans la plupart des banques.  

samedi 25 avril 2020

Covid 19

Dans l'esprit de se blog qui donne le point de vue d'un néophyte en acceptant de prendre de grands risques de dire des "conneries" je présente juste des hypothèses sur le problème.

Vous êtes prévenus que je ne prétends pas pouvoir améliorer  la situation. Les remarques présentées pourraient même causer une aggravation de certaines situations. 


D'une part je trouve que le problème de la protection (masques, désinfectant ....) contre le virus a été souvent mal été présenté car il y a deux problèmes différents:


-- Protéger le personnel hospitalier c.a.d empêcher de manière quasi parfaite une personne saine d'être contaminé dans un environnement très risqué.

--  Ralentir la propagation du virus au sein de la population  c.a.d réduire le risque qu'une personne infectée transmette à de nombreuses personnes la maladie.

Cette réduction du risque de contaminer les autre -si elle est possible et si elle aurait eu finalement un impact positif- aurait du être évoquée lors de la présentation du degré d'efficacité des différentes solution (masque , lavage de mains, désinfection). Autrement dit dans la présentation qui a été faite on aurait pu parler plus de solutions concernant la protection des autres plutôt que la protection de soi même. Mais c'est une chose difficile de faire la promotion d'un tel comportement dans des sociétés très individualistes. Il y a en plus le problème de la pénurie de masques sachant que le production personnelle de masques par la population aurait pu être conseillée et commencée beaucoup plus tôt.


En fin de compte:

-- Quel mal il y a -t-il à porter un masque même si la protection qu'il me donne est très mauvaise mais qu'il permet de diminuer le nombre de personnes que je suis susceptible de contaminer? Peut-être se contaminer soit même en le manipulant, mais il peut être désinfecté ou lavé.

-- Pourquoi n'avons nous pas de stock stratégiques de masques, de solutions et gels alcooliques de gants de protections?

-- Peut on fabriquer un masque avec les moyens du bord qui puisse réduire la propagation de la maladie?

-- Quel est l'impact global d'une réduction de 10, 20, 30....80% du risque de contamination d'une personne malade à un groupe de son environnement immédiat.

La comparaison des différentes solutions mise en oeuvre dans des pays qui ont bien résisté au virus va poser la question  de la compétence des équipes qui ont pris les décisions. Le WHO, des états, journalistes, médecins et citoyens  comme moi pourraient être attaqués en justice par des groupes de citoyens qui accumuleraient des preuves de négligence ou de désinformation.

Exemple d'un  fait qui pourrait être à mon avis l'objet d'une action en justice:

En cherchant avec Google un moyen de fabriquer un masque j'ai trouvé une documentation de l'AFNOR. Comment se fait-il que l'AFNOR publie une photo de personnes se touchant les coudes pour se saluer sur la première page du document alors que le gouvernement a officiellement conseillé d'éternuer ou de se moucher dans le coude? Peut-être le gouvernement devrait il aussi conseiller sur une manière de se dire bonjour avec un risque minimum c.a.d en évitant tout contact physique et en gardant ses distances même muni d'un masque. Le document de l'AFNOR rappelle d'ailleurs lui même qu'il faut garder ses distance même en portant un masque! De plus j'ai essayé de trouver sur internet des tissus qui correspondent aux caractéristiques données en annexe du document de l'AFNOR et je trouve que cela est difficile. La prochaine étape aurait été de contacter les fabricants et revendeurs de tissus pour qu'ils puissent spécifier la compatibilité de leur produit avec ce document. Je pense aussi que dans la situation actuelle aucune restriction ne devrait exister sur la reproduction du document mise à part de ne pas le modifier. 




Voici aussi une copie de la page du site du who qui pourrait aussi être la cause d'un procès contre le WHO.

Surtout si il était confirmé que :

  1. comme j'ai cru l'avoir lu- la moitié des porteurs du virus pourraient ne pas avoir du tout montré de symptômes tout en ayant été à un moment contagieux. 
  2. il faut environ 7 jours en moyenne  avant de développer des symptômes. Période pendant la quelle on est aussi contagieux.
Donc de très nombreuses personnes auraient  été contagieuses tout en semblant être en bonne santé. Hors le WHO leur a conseillé d'attendre les symptômes avant de commencer à porter un masque comme indiqué ci-dessous:






 Un bilan de la situation de certain pays donnant une première indication de l'efficacité des mesure prises.



Je n'apprécie pas d'être traité d’irresponsable (citation à la radio) à cause des critiques. Je ne prétend pas et n'ai jamais prétendu  être un citoyen modèle. Mais je signale que j'ai accepté et   travaille actuellement  dans un environnement à risque accrus (froid , sang, humidité, eau) de nettoyage agroalimentaire. J'apporte mon propre masque de protection au travail. J'estime que l'état a eu plus d'un mois pour se préparer et que les résultats pour un pays à la pointe du développement sont décevant. Les Français vont devoir peut-être choisir d'autre solutions pour  l'emploie des ressources du pays. C'est à dire recentre les dépenses vers ce qui est essentiel pour notre santé et notre sécurité.

La crise va être l'occasion de réfléchir aux possibilités de s'adapter aux pandémies et toujours dans l'esprit de ce Blog je me permet de proposer c.a.d parler dans le désert comme l'atteste la critique sur le choix de la photo sur le site de l'AFNOR (contact physique):

-- généraliser l’utilisation de containers ou de remorques prêtables  pour éviter que des chauffeurs étrangers rentrent sur le territoire (un chauffeur  prends le relais à la frontière).
-- équiper la poste de lampe UV pour désinfecter le courrier.
-- prévoir l'installation d'extension aux hôpitaux sur le parking des hôpitaux ( tentes, containers sur plusieurs étages).
-- prévoir des zones de quarantaines (y compris des couloirs de communication entre les zones) pour les voyageur entrant dans le pays et même des salles semi-confiné permettant des réunion entre gens qui sont dans et hors quarantaine.
-- pouvoir (pré-) réquisitionner une partie de l'industrie dans des secteurs stratégiques para-médicaux.
-- avoir un stock stratégique d'alcool et gel et masques et des stocks détenus en partie par la population.
-- pouvoir  former rapidement des infirmiers.
-- pouvoir lever des milices para-militaire pour faire respecter le confinement.
-- avoir des usines qui peuvent être reconfigurées pour pouvoir produire des produits d'urgence comme les masques ou les gel hydro-alcooliques.
-- les masques de type chirurgicaux pourraient être remplacés par des masques plus étanches utilisé pour la protection contre des produits dangereux mais équipés avec un filtre en sorties en plus du filtre en entrée car avec le  type de masques existant l'air expiré est directement rejeté à l'extérieur. Des masques de protection contre la pollution sont souvent équipés de valves sur le trou d'évacuation de l'air expiré. C'est juste la personne qui porte le masque qui est protégée pas les personnes autour. Il est  peut être possible de boucher le trou d'évacuation pour que tout passe par le filtre et enlever la valve en entrée d'air.

Je viens de lire l'article le plus inquiétant depuis le début de la pandémie:

article du site de science et avenir Par Coralie Lemke le 24.04.2020 à 17h41

si j'ai bien compris:

-- Assez faible probabilité de trouver un vaccin.
-- Grande probabilité de mutations (grosse taille de virus). Si un vaccin est trouvé il faudra probablement se vacciner chaque année (bonne nouvelle pour l'industrie pharmaceutique).
-- Possibilité de mixage du virus avec des virus plus mortel lors de l'infection.
    En particulier possibilité d'émergence d'un virus très mortel si mixage Elbola/SARS-CoV-2 en Afrique 
-- Incertitude sur l'immunité après infection.

Pour moi il est difficile de croire que non seulement nos pays "développés ne ce soient  pas suffisamment préparé depuis longtemps (malgré de nombreuses alertes faites par des professionnels des pandémies)  mais -en plus- n'aient pas rapidement mise en places des mesures protectrices très fortes au début de la pandémie pour compenser cette première erreur. Pour cela il aurait fallu plus de courage politique et mécontenter tous les gens qui bénéficient d'une redistribution des richesses pour des financer des activités peux importantes par rapport aux risques de pandémies.
Le risque a-til été mal évalué ?

Boulevard du mauvais goût:

J'ai entendu à la radio un animateur parler d'une nouvelle tendance du net. Il semblerait qu'il y ait de plus en plus de gens comme moi qui s'autorisent à parler de chose pour lesquelles il n'ont pas de compétences et de critiquer. Il parait que cela ce fait même au sommet du gouvernement US. L'animateur bien sur ne pouvait s'empêcher de montrer un certain mépris.
Moi je pense qu'il est bon que les gens puissent s'exprimer et même critiquer à partir du moment ou il gardent une certaine prudence. C'est même utile pour nos dirigeant pour améliorer leur politique de communication en leur offrant la possibilité de comprendre pourquoi ils ont mal été compris. Bien sur si ils ont mentis - ce qui est fréquent- cela leur offre la possibilité de mieux mentir.

Dans ce type de catastrophe (COVID 19 ) les mécanismes psychologiques de défence de la population sont divers. Là encore je ne suis pas compétent mais j'ai noté quelque points au cours de mes lectures. Points qu'ils seraient bon que chacun connaisse:

-- il est difficile de rester passif, on cherche souvent  à réagir et malheureusement, parfois de manière dangereuse et néfaste. Par exemple on veut fabriquer des masques soit-même, mais cela reste inefficace ou même dangereux. C'est pour cela que la publication de l'AFNOR est utile et aurait du arriver beaucoup plus tôt. Elle aurait même du  exister avant la crise. Les gens qui ont pour hobby le survivalisme sont intéressant et devraient  à mon avis être suivis et aidés par le gouvernement. Cela leur permettrait de mieux anticiper les problèmes et même -pourquoi pas- de trouver des solutions.

-- on cherche un responsable. Les religieux ont l'infini sagesse de charger dieux aux maximum. C'est plus difficile de le tuer. C'est une des taches des dirigeants: assumer la responsabilité et servir de fusible. Cette recherche de la responsabilité peut aller très loin et même déboucher sur une activité créatrice féconde. Je vais essayer d'en énumérer quelques cas  car, à divers degrés, tout reste plausible.

  • Le cas évoqué dans le film L'armé des douzes singes. Excellent film avec une de mes actrices préférée. C'est un cas d'éco-terrorisme avec bien sur un scientifique fou. Sur le même thème, une version un peu plus corsée du COVID-19 serait l'arme idéale pour "rééquilibrer" la population sur terre. En effet, supposons que l'humanité décide de diminuer la population mondiale rapidement. Il y aurait -en autre- trois solutions possibles: Diminuer la natalité fortement et se retrouver avec une population comportant beaucoup trop de vieux (pas viable économiquement) ou trop d'homme comme en Chine. Utiliser une guerre atomique et tuer de manière uniforme (trop destructeur pour les infrastructure, bien que des bombes à neutrons feraient peut-être l'affaire). Enfin utiliser une pandémie qui tue en priorité les vieux et c'est le cas du  COVID-19. Mais il est possible qu'un un mix du COVID 19 avec ELBOLA soit une très bonne solution.
  • Un ou plusieurs états décident d'utiliser une pandémie pour procéder à un vol ou une "réappropriation" sur les marcher financiers .
  • Des états victimes de la guerre contre le terrorisme  décident de montrer que les destructions qu'ils ont subis n'ont servit à rien et payent ou contraignent des agents à libérer des virus connus de certain laboratoires.
  • Un immense iceberg va se détacher à cause du réchauffement et provoquer un énorme raz-de marrée. Des gens interviennent pour ralentir l'activité industriel et gagner du temps. 
  • La 5G est déjà arrivé! On s’aperçoit - mais c'est déjà trop tard - que nos dirigeants occidentaux sont des agents chinois. Ils décident d'un commun accord de délocaliser la production du vaccins (contre des virus d'humeur changeante chaque année). Les journalistes s'étonnent que les occidentaux aient plus confiance dans les virologues chinois que le peuple chinois lui même qui a déjà testé leur vaccins! 
  • Les virus décident de protester: "On est des êtres humains comme les autres!" (Faux Vrai Mensonge)."On a pas l'ambition de passer notre vies dans une bombonne de congélation". Ils décident l'union syndicale et de combattre "même avec les microbes". "On est victime d'une campagne diffamatoire sans précédent: Si on nous avait laissé faire il n'y aurait pas eu tous ces problèmes de guerres, de catastrophes économiques, de pollutions sans précédent et de disparition de nombreuses espèces animales!". Il soulignent leur dynamisme et le manque de reconnaissance de l'opinion alors qu'ils sont les principaux responsables de l'évolution! 
  • Si vous avez d'autre idées (gratuites) vous pouvez me les envoyer.....on pourrait faire encore un film catastrophe avec...
Il est enfin aussi possible que l'ensemble des gouvernements aient décidé de ne pas renforcer les protections contre les pandémies pour diminuer les risques d'attaques militaires à l'aide de virus. La mise en place de protections pour la population et l'économie diminuant le risque que l'assaillant subisse un retour sur son sol et surtout subisse des dommages économiques et humains causés par sa propre arme. 

L'Economie mondiale, baisse des marchers boursiers du au Covid 19 le 10 mai 2020:

Etats Unis

  • Standard & Poor', 80% du marché boursier US américain, l'indice le plus représentatif de la bourse aux états unis: baisse de 14%. 
  • Dow Jones Industrial Average les 30 plus "importantes" valeurs US:  baises de 18%.
  • Nasdaq Composite Index 100 plus importante valeurs US: baisse de 8%
France
  • Cac 40, indice des 40 premières valeurs Françaises: baisse de 25%
  • SBF 120, indice des 120 premières valeurs Françaises: baisse de 26%
Allemagne

  • Dax indice des 30 plus importantes valeurs Allemandes: baisse de 20%
Juste une première impression sur qui sont les gagnants. Ou alors une intervention pour éviter un problème lié aux retraites qui sont alimentés par les fond de pensions?

Déconfinement:

A peine la première personne rencontrée, j'ai l'impression qu'elle n'a  pas compris la nature de la mesure. La première fois j'avais senti que cette même  personne se méfiait et évitait de s'approcher. Après le déconfinement, c'est comme si le risque s'était envolé. Il s'approche à un mètre et discute plusieurs minutes s'en se soucier de la direction du vent qui porte sur moi. J'essaye de lui faire comprendre que le risque n'a pas changé et qu'il est maintenant probablement plus diffus sur le territoire français. Il est pourtant à un age ou la maladie ne fait pas de cadeau. Moi aussi, même si je suis un peu moins âgé.

Rappel encore: je ne suis pas un spécialiste mais j'ai cru comprendre que le déconfinement est une mesure globale -et peut-être temporaire- lié en grande partie au risque globale que l'épidémie continue à croître (le fameux R). Le risque qu'une personne soit infectée ne c'est pas envolé  en l'espace d'une journée. Les gestes barrières sont toujours nécessaires et même plus maintenant qu'avant car le déconfinement augmente les risques et on ne sait pas encore si il  va relancer l'épidémie en faisant passer R au dessus de 1.

2022/04/ : Nature du Virus:
J'entends une hallucination: "il a de la chance que la deuxième version du virus ait été plus contagieuse" sous entendu il aurait vraiment eu des problèmes avec le WHO en laissant planer le doute d'une négligence vis à vis de la nécessite de porter un masque. Je doute d'avoir une influence suffisante pour que cela  cause réellement un problème. Mais il y a bien quelques imbéciles qui en auraient profité pour me harceler et certain supporter du WHO avaient d’ailleurs commencé. 
J'ai entendu à plusieurs reprises - par exemple avec le directeur du labo qui a mise au point le vaccin à ARN-  qu'il y avait peux de chance que le virus devienne plus dangereux (risque de mort une fois infecté).
Mais peux de gens ce sont prononcé sur les risques que les mutations du vaccin deviennent plus contagieuses. Hors cela c'est passé -il me semble- à deux reprises. C'est donc que l'on ne connaissait probablement pas ce risque. Dans ce cas il  m'aurait semblé prudent de demander la production de masques qui auraient pu être stockés pour la prochaine pandémie. Mais bon.....il est aussi possible qu'il ait fallu éviter une panique générale et que la demande de production de masque ait été faite discrètement dès le début. 

samedi 18 avril 2020

Force de dissuasion

Etant donné ce qui c'est passé à bord de notre porte avion on est en droit de se demander si  notre force de dissuasion n'est pas un sorte de ligne Maginot.

mardi 14 avril 2020

Construction amateur de véhicules à quatre roues

Il es possible de trouver sur internet de nombreuses pièce pour fabriquer un petit véhicule électrique ou à moteur à explosion:

  • pont arrière avec différentiel et frein à disque
  • moteur avec marche arrière et variateur ou vitesses
  • triangle de suspension avant avec frein à disque.
  • volant et colonne de direction.
Il y a aussi de nombreux tutos sur youtube  montrant la fabrication de tels véhicule.

Il ne reste plus qu'à avoir des plans de véhicules qui puissent être homologués, certifié EU. Ma recherche est pour les moment infructueuse. A mon avis cela permettrait de "booster" les ventes de ces pièces. Mais quel serait le bilan financier pour l'utilisateur?
En tout cas je trouve qu'acheter un véhicule électrique est un plaisir de riche.
Et trouver un véhicule électrique pouvant circuler sur la voix publique à moins 50 km/h  à prix modique est quasi impossible.

lundi 16 mars 2020

L'écologie et le militant.

Tant de bonnes volontés et tant de gaspillage.

J'ai  parfois été au contact de militants. J'ai même collé quelques affiches pour les verts.

Je crois que personne n'oserait aujourd'hui remettre en question l'existence d'une menace pour la vie sur terre causée par les activités   humaines.

Je pense pourtant que tout peut-être remis en question. Les problèmes sont complexes et le nucléaire en est un exemple flagrant. 

En effet dans les année 1980 juste après Tchernobyl, personne n'aurait osé prétendre que les centrales nucléaires on un effet positif sur l’environnement et même que cet effet positif prévaut sur son effet négatif.

La complexité des techniques et la multitudes des innovations font qu'il est dangereux de ce jeter sur la première solution venue: pourquoi investir des sommes faramineuses  dans des solutions qui risquent de devenir rapidement obsolètes ou se révéler inadaptées? Un état ne peux se permettre de prendre le risque de perte concurrentielle  considérable sur le marché mondiale à cause de l'écologie.

On ne peut prétendre que la voiture électrique, le carburant vert .... doivent absolument être massivement utilisés. C'est juste une partie des solutions possibles.

De plus l'écologie en tant que  mouvement politique est la cible de toute les manipulations à cause de la charge émotionnelle et de son impacte politique et même économique. En manipulant les mouvement écologiques, certaines minorités ou puissances étrangères peuvent influencer et même déstabiliser le fonctionnement politique d'une nation à leur avantage.

Ce sont juste des suggestions qui doivent être analysées et complétées; mais que pourrait faire le militant de base dans ces conditions ? 

  • Il devrait être prudent et se méfier de tout ce qui est fortement chargé émotionnellement parce que cela renforce -parfois faussement-  l'impression d'être utile ou d'avoir raison.
  • Essayer de (se ) construire une vue globale du problème incluant la sécurité de l'état, l'équilibre du débat politique, les avis scientifiques, l'innovation technique (veille technologique).
  • Établir des liens avec les services de renseignement et la communauté scientifique
  • Partager cette vue globale en sensibilisant et en informant la population. 
  • Participer localement à des actions écologiques: 
    • Participation à la construction d'un rapport sur l'état écologique de sa commune.
    • Participation à la surveillance écologique (agriculture, industrie, particuliers, action de l'état, faune et flore sauvage).
    • Participer à des action ayant pour but d'améliorer une situation particulière (aménagement, nettoyage....).
    • .........
  • ..........
J'ai par exemple une proposition concernant une loi dont le but est de favoriser la recherche et la publication de solutions ayant une implication directe dans l'amélioration écologique de la planète:
Permettre l'extension du temps pendant lequel une entreprise ou un particulier peux percevoir des droits liés à un dépôt de brevet si son invention se révèle avoir un impact particulièrement positif sur l’environnement. Des incitations fiscales pourrait être aussi envisagées pour faciliter la commercialisation et la distribution c'est à dire augmenter l'espoir de bénéfice. N'ayant pas une bonne connaissance de ce qui se passe dans le monde du dépôt de brevet et n'ayant pas pu trouver beaucoup d'information pratiques dans ce domaine, c'est peut-être une très mauvaise solution. Mais il faudrait pouvoir stimuler l'innovation à impact écologique si besoin est.  Remarquez que cela n'est peut-être pas nécessaire aujourd'hui; le recherche dans ce domaine est peut-être suffisante et le degré d'urgence ne justifie peut-être pas un rééquilibrage. De plus on peut très bien faire une découverte utile dans le domaine écologique sans le vouloir. Il y a-t-il une recherche "écologique"? Quelle est sont utilité et sa situation? Comment sont prises les décisions d'attribution de crédit de recherche "écologique" aujourd'hui?
Remarquez que le but ultime serait de favoriser la détection des découvertes fondamentales qui auraient une utilité "écologique" et de favoriser leur utilisation. Il faudrait bien sur aussi favoriser des recherches fondamentales si on peut estimer les retombées probables dans le domaine écologique. Quand à leur utilisation, augmenter le temps de collecte des droits relatif aux brevet serait bien sur un obstacle à la commercialisation et peut être même finalement à la recherche: en effet pourquoi une entreprise continuerait à chercher de nouvelles solutions si les anciennes lui rapportent suffisamment (voir brevet Telsa)? Il faudrait donc que les incitations fiscales permettent  d'augmenter les bénéfices commerciaux tout en diminuant les les prix de ventes tout en favorisant la recherche. Mais les incitation fiscales ont-elle permises de mieux isoler les maisons? Quel est le bilan financier pour la nation , le particulier, le fournisseurs de service et matériaux?
Aujourd'hui ils semble que le consommateur accepte de payer plus pour des produits labellisé "écolos" sans pour autant que leur utilité écologique soit prouvée.

dimanche 2 février 2020

La théorie des langages.

A force de bricoler et d'essayer d'améliorer des partie de logicielle que j'ai faites, je suis tombé sur Flex et Bison puis sur des référence à la théorie des langages formel. 
J'ai acheté le boucain (introduction to formal languages Révéz) mais j'ai des difficultés:
-- j'imagine des choses qui ne sont pas ce qui est présenté dans le live et donc je ne comprends pas ce que je lis.
-- je fais des digressions constamment dans différent domaines y compris en réalisant un générateur de langage utilisant une grammaire générative. 

Donc je n'avance pas et ce n'est pas seulement un problème de travail assidu. 

Des managers  qui m'ont observé depuis le  début de ma carrière on constaté un certain manque d'ambition mais on pourrait parfois émettre l'hypothèse d'une ambition démesurée qui peut aisément être prise pour de l'inconséquence, ou de la folie voir de la bêtise.

Vous avez déjà été prévenue sur les risques que je prends dans ce Blog. Ils sont démesurés par rapport à mes connaissances des sujets abordés.

Donc la théorie des langages est importante car pour moi elle chapeaute les autres théories.
Pour bien comprendre la manière de penser d'un étranger il est préférable de bien connaître sa langue, pas seulement savoir parler couramment mais connaître sa structure. Au début on est incapable de reproduire les sons aussi par ce qu'on est incapable de les reconnaître, enfin....la raison est probablement plus complexe.

Il est donc possible que les obstacles rencontrés dans la recherche fondamentale en physique soit du à l'absence d'un langage adapté. L'univers étant lui même un langage que nous essayons de traduire dans un langage compréhensible par nous. Mais quel langage chercher? La théorie des langages et les problèmes connus de traduction pourraient-ils  nous aider en essayant de s'orienter vers de nouvelle structures? Ces langages seront ils encore manipulés directement par des cerveaux humains ou prises en charge presque totalement à l'aide des ordinateurs?  On pourrait même se demander si les nouveaux langages qui vont être utilisés avec les ordinateur quantiques ne vont pas donner naissance à de nouvelles théories mathématiques. 
J'ajoute au risque de me répéter partiellement des questions sur la modélisation et les langages.
-- Quel est le support pour un langage? Pour être le moins spécifique possible on pourrait dire que c'est une masse d'information quelconque. Mais déjà mettre cette information sur un support informatique pour pouvoir l'analyser constitue une traduction et donc une perte d'information. 
-- Comment modéliser, c.a.d trouver une structure (en établissant des relations reliant des informations). Une machine de Turing génère cette  masse d'information à partir de règle. Mais c'est seulement théorique car on a du simplifier les règles pour pour pouvoir générer de manière pratique le langage à cause du temps démesuré  que demande dans certains cas cette machine. Même pour générer un langage finis. Il faut donc trouver les moyen d'améliorer la machine de Turing. On pourrait essayer de les utiliser pour générer une masse d'information pour les comparer aux informations collectées. Là encore on se trouvera toujours confronté à des problèmes de traduction. Dans certains cas les problèmes abordés recoupent des problèmes de cryptologie et même de compression de donnée . Une machine de Turing permet d'exprimer par exemple un langage infinis en quelques règles. 

Donc on a une masse d'information qui parait chaotique et dont on ne sait rien. Rechercher un modèle  ressemble à du décryptage qui peut être partiel. Pour cette masse d'information on pourrait essayer de définir des caractéristiques générales  compatibles avec certain type de modèles. Générer une masse de donné à partir du modèle (même partielle) et la comparer à la masse d'information dont ont cherche à percer le sens.

Il faudrait donc faire des concours demandant de trouver le modèle le plus concis possible permettant de générer une masse quelconque de donnée. En commençant humblement avec des petits volumes de données.

continuons l'exploration:
dois-je considérer tout cryptage  d'une masse de donnée comme étant en fait le même langage? Le cryptage étant censé inclure tout procédé réversible de  transformation d'une masse de donné sans en changer sa taille. On devrait donc aussi inclure la compression /expansion sans perte de donnée et peut-être les permutations  réversibles. Mais alors si toutes les permutations sont réversibles il n'y a qu'un seul langage fondamental. Et  tous les langages  sont dérivés de ce  langage fondamental. Un langage peut-il être infinis? A-t-il une taille? Est-il compressible? Existe-t-il une forme de compression ultime? LA compression du langage permet-elle de trouver plus facilement son modèle, sa structure? Le modèle parfait canonique du langage est-il la forme la plus compressée du langage?

Mais si il existe une forme de base du langage que l'on peut obtenir à partir de la compression ou de la permutation ou même du cryptage simple alors la manière de compresser ou de permuter ou de crypter  doit être inclus dans ce qui définit le  langage c'est à dire dans la masse de donnée que l'on analyse pour que ce langage soit vraiment définit par elle. 

Je trouve aussi intéressant de voir les ponts possibles entre compression ,permutation et cryptage.
Puis je obtenir tous les cryptages  possibles en permutant et vie versa? Puis-je obtenir une meilleur compression en cryptant ou en permutant?

Anjelica? C'est encore toi? 

Mais je suis obligé d'arrêter, il faut quitter le mode recherche pour revenir en mode apprentissage: limiter les rêveries, fixer des horaires, quantifier le nombre de pages lues.

Pour moi la recherche nécessite une part d'incompétence:  vous êtes obligé à un moment donné d'utiliser  des domaines de connaissance qui vous sont étrangers . C'est pour cette raison qu'il faut des équipes pluridisciplinaires. 

Je  suis une grosse équipe de gens très incompétents à moi tout seul.... plus  Google.

Ici une tentative de développement d'un  générateur de langage (tout type  Chomsky 0-3)
Cela n'est pas complètement testé donc à vos risques et périls!

A python pgm: langage generator from grammar rules

The test suite for this programm

It works with  grammars that generates  words with infinit length.
It just cut the derivation when the length is higher than a chosen limit.
But it is not always possible to predict the length of the finnl word when rules would shrink a word like aPb-->ac .
That kind of rules gives normally a warning messages and we might not see all words having a length below the chosen limit in the final result.

Before publishing it I received comments that  the pgm wasn't working. They can say it officially now!

This pgm might be usefull to generate special kind of permutation like in the exemple given at the end of the source: generating L={P|Na(P)=Nb(P}  Vn={S,A,B} Vt={a,b}. I am still searching a way to make a test suit and generating an equivalent language with itertools.

A lot of interesting problems arise simply by trying to resolve practical problems like building a subset of the language and limiting the length of the words.

Some vague idees:
-- Structure of a language: we could compare language just by comparing the general form of the tree we explore during the derivation (abstraction of the alphabet itself).
-- how to add  shrinking rules  that will collapse parts of the language.
-- how to find a generative grammar from a preexisting language
-- how to optimize a generative grammar (by having less rules or more efficient rules during the derivation).
-- is it possible to have a canonical form for a generative grammar.

The general idee would  be to find new langages that could by their structure expand the possibilties of  existing langages.

After having tested some generative grammar with my program I had to make some modifications.
One of them was to let the program run even if I encounter situations where there are still non terminal characters but no rule can apply.
This is the case of this grammar
    F=[("S","a"),       ("S","CD"),       ("C","ACB"),       ("C","AB"),       ("AB","aBA"),      ("Aa","aA"),       ("Ba","aB"),       ("AD","Da"),       ("BD","Ea"),       ("BE","Ea"),       ("E","a")]
 generating L={ a^n² |n in 1,2,3,....}

This grammar generates (if I made no mistakes) a lot of non-derivable words. A lot more than the word in L: I had to wait hours before seeing the  first words appearing.

A way to recognize this kind of grammar would appear be more useful  to me than the Chomsky types. But I am a programmer not a linguist.
There is also perhaps a way to determine some rules that have no chance to reappear during derivation. Again a way to classify the grammar and the language.
How to transform this grammar to a more efficient one? When is it possible?
They are so many possibilities, but computers could help.

I just heard (hallucinations or electronic harassment): "He is half serious".

Making such assumptions about fondamental research is easy: I mean, every-body  should be aware of concepts limitation induced by languages.

Knowing quite nothing about quantum mechanic I can't  try to detect when a failure is due to langage limitation (wrong language) or wrong model  using the right language.

So along with  new observations   we might have to find new langages (not only based on numbers).  Of course we can't throw away number. But what else can we do with them? Do we need the  continuity given by real numbers? Is integral calculus still the only way?

So making fondamental research is some kind of reverse engineering toward a langage we don't even know. Would  people working on language and people making even simple models be useful?

After  hours of trying to study the book written by Gyorgy E.Revesez (introduction to formal langage), I haven't been able to fully understand any of the proof given for the theorems. If I say "fully" it is just because I don't want to be too hard with myself. Even understanding some theorem concepts is a problem. I don't know the reasons: perhaps I am to old or I stayed to much time without training my brain or I got unwillingly some pils that weaken intellectual abilities.

They decided that I am  a kind of  Jean Paul Farré but I don't have his talent. I just like to amuse people and myself. It is not easy with science. Science isn't an entertainment but music is.

To illustrate the kind of difficulties I have with the introduction to formal language, I'll give this example and later an attempt to resolve the problem in a way that allow somebody like me who doesn't have the training or the gifts. Some people  might find this as ridiculous as counting with your hand-fingers.


and the proof in a form of an algorithm: I'm a programmer.

if P=a^i b1 W1 b2 W2 .... bi Wi = a^iX
then X=b1 WA b2 W2 ....biWi and we have  i more b's  in X than a's.
Na(X) +i  = Nb(X)
the character at the beginning of X is X[0 ] =b1
if X1 = X[1,len(X)]   substring of X from pos 1 to the end
we have Na(X1) + i -1 = Nb(X1)
As far as we haven't encountered all the bi's they are more b's than a' in Xn

If Xn beginns with a 'a' we are sure to find a string Wi=Xn[n,n+k)] in Xn. (with n+k=<len(X))
Suppose we start with k=1
we have Wi="a" and Nb(Wi)-Na(Wi) = -1
when we reach n+k we will have    Nb(Wi)-Na(Wi) = i -1 >=0 (by incrementing or decrementing)
So we will find a k where Nb(Wi)-Na(Wi)  = 0
But Wi  must be followed by a 'b'
if Xn beggins with a 'b' we will consider this as a bi that counter balance the ai's at the beginning of P. When we have found all of them n the remaining string has surely Na=Nb

Now the pgm.
#!/bin/python
'''

'''
import re as RE
              
class TestA():
    '''
    Split a word P | Na(P)=Nb(P) and P=a^i b1 W1 b2 W2b .....bi Wi
    we want to get w1,W2....wi in a list
    and rebuild P from it to copare to the original P
    '''
    def __init__(self,P):
              
        if len(P) % 2 == 0 and len(P) != 0:
              self.P = P
        else:
            raise Exception("P must have even length and not empty")
        
        if not self.NaEqNb(P) :
            raise Exception("P must have Na = Nb ")
        
        if P[0] == "a":
            try:
                match = RE.match( "(a+)(b.*)$", P )
            except:
                raise Exception("P doesn't match '(a+)(b.*)$' -> %s" %(P,))
            self.A="a"
            self.B="b"
            
        elif P[0] == "b":
            try:
                match = RE.match( "(b+)(a.*)$", P )
            except:
                raise Exception("P doesn't match '(b+)(a.*)$' ->%s" %(P,))
            self.A="b"
            self.B="a"
            
        Alist,X=match.groups()
        ##print Alist,X
        self.wlist=[Alist]
        self.X=X
        self.i=len(Alist)
        self.extract(X)

    def NaEqNb(self,X):
            Na = X.count("a")
            Nb = X.count("b")
            if Na == Nb :
                return True
            else:
                return False
        
    def extract(self,X):
              
        n=0
        ii=0
        while n < len(X):

            if ii == self.i :
                # when we have consumed all bi's (from the ai's) 
                # the remaining string is either empty or Na =Nb
                subX=X[n:]
                if self.NaEqNb(subX) :
                    #print "last sub X,ii",subX,ii
                    self.wlist.append(subX)
                    return
                else:
                    raise Exception("Error:Na(X) != Nb(X)")
            # ii < i still have bi's to process
            if X[n] == self.A:                  
                for x in xrange(n+2,len(X)+1,2):
                    subX=X[n:x]
                         
                    if self.NaEqNb(subX) :
                         if  X[x] == self.B:  
                            self.wlist.append(subX)
                            n = x
                            break
            elif X[n] == self.B:
                n += 1
                ii += 1
                self.wlist.append(self.B)
                if n == len(X):
                    self.wlist.append("")
  
                            
              
if __name__ =="__main__":
    '''
    '''    

     sample = ["aabababbab"]
  
    ##print sample
    for P in sample:
        p="".join(P)
        t=TestA(p)
        pp="".join( t.wlist)
        if p != pp:
            raise Exception("P != PP: %s %s" %(p,pp))
        else :
            pass
            #print p,pp, t.wlist
    print "Test ik ok for all asmple"


Fuck!

By looking at  the program made from this algorithm and making several tests I could pretend that the program would never fail  for any P of L in finding this expression: P=a^ibW1bW2....bWi
But could an automatic analysis of the  program say it to me?
Could we have a special language that could be analysed  automatically?
Or could we have something like symbolic calculus for sets and tuples and lists?
It could be the first step in asking machines to take the risks for us,
and mathematicians loosing part of the control they want to keep.