mercredi 9 mars 2011

La violation de la vie privée

Aujourd'hui la technologie permet d'installer des systèmes performants et économiques pour espionner les gens. Tout le monde connait les logiciels espions et le fait que les pc portables ont souvent des micros et caméras incorporés. Mais il n'est parfois même plus nécessaire d'entrer physiquement dans l'espace privé, on peut tracer les déplacement grâce au téléphone portable, sniffer les émissions wifi, utiliser un laser braqué sur une vitre pour entendre les sons et peut être même voir à travers les murs. Un satellite radar pourrait même voir sous terre jusqu'à quelque mètres. Il y a aussi les parasites sur la FM.
Pour se protéger efficacement il faut faire appel à des experts et parfois procéder à des investissements élevés. Le risque restera encore très élevé.
Les états et les entreprises sachant qu'il est impossible de se protéger complètement compensent se problème avec le contre espionnage et les techniques d'intoxication. Bien sûr il pratiquent aussi l'espionnage. Que le meilleur gagne! Tout le monde sait que c'est inévitable. Je me souviens en rigolant de ce qu'aurait dit Mittérand en bon socialiste: "Ils nous dépouillent et après ils nous font l'aumône". Il aurait peut-être pu dire simplement: "on a perdu mais la guerre n'est pas terminée". Les états n'attendent pas de s'être fait entuber pour prendre des mesures adéquates. Il y a peut être aussi une sorte d'équilibre de la terreur dans ce domaine. D'où l'importance des regroupements et des alliances pour les nations, les entreprises et les citoyens.
Pour le citoyen le bon côté c'est que l'on devrait être mieux protégé, mais on est aussi plus exposé.
Personnellement je trouve normal que l'on me surveille pour se protéger ou pour me protéger. Je trouve même presque normal que l'on cherche à pécher des informations négociables sur le marché.
Par contre je trouve qu'il est dangereux d'utiliser les informations concernant la recherche de travail et par exemple de contacter une société qui vient juste de vous appeler pour un job dans le but de vous le faire perdre en vous diffament.
De même je trouve extrêmement dangereux d'utiliser des informations strictement privées, collectées de manière illégale pour vous montrer que "tout se sait".
Cela m'est arrivé trop souvent. Je l'ai même signalé à la police parce que je trouve que c'est de la provocation et de l'incitation à la violence.
Le truc le plus marrant qu'il m'est arrivé: installer un logiciel de mesure de QI acheté au supermarché du coin, obtenir une note de 80 (on est loin du QI de 115 annoncé) et avoir la surprise de me retrouver sur les pages destinées aux enfants sur un site anglo-saxon que je visitais régulièrement. Vive les cookies! Et je ne parle pas du visage atteré de certaines personnes qui semblaient s'attendre à trouver un trésor.

samedi 5 mars 2011

Le cinema

Je suis un dvdvor. J'utilise souvent un film pour me dépolariser après le travail, ou après une bonnes séance de harcèlement. Dans ce cas un simple "série B" fait l'affaire. Lorsque j'allais dans les salles de cinéma j'aimais aller au premier rang pour pouvoir rentrer dans l'image, occuper la totalité de mon champ visuel. Le plaisir de l'image c'est pour moi comme de se retrouver dans la rue au sortir de l'école, d'aller au port, de contempler les quais, les bateaux comme on s'approprie une belle femme en la regardant.
J'achète en priorité des film en VO de facture américaine parfois anglaise. Je les regarde avec un sous-titre en anglais et même anglais pour les mal entendants. Cela me permet d'entretenir mes capacités d'écoute dans cette langue. Pour cela j'utilise -aussi beaucoup plus rarement- les fictions sur la BBC.
Quesque le cinéma m'apporte en plus de l'évasion? Je trouve que c'est un outils puissant qui permet de révéler quelques idées fortes pouvant servir de point de départ à toute une réflexion ou simplement de l'illustrer. Parfois les scripts sont une merveille d'intelligence et de savoir faire. Comme avec la bible, il faut savoir lire entre les lignes et ne pas chercher la démonstration. Par exemple: le film, en évoquant une histoire, peux difficilement coller à la réalité. Il lui est plus facile de respecter l'esprit que la lettre.
Parmi les sujets les mieux traités dans les films américain que j'ai pu voir je placerai par ordre approximatif; la justice, la politique, le couple, la criminalité, l'entreprise.... la liste est très longue et elle s'allongera.
Bien sur on ne peux s'empêcher parfois de rire comme à l'opéra du coté ridicule de la représentation. Pour améliorer l'impact tout est exagéré et atteint parfois de manière systématique la caricature. Tout ceux qui connaissent bien une sujet sont parfois très décus par le coté irréel ou invraisemblable. Il y a aussi le coté démagogique parfois putassier qui cherche à satisfaire le plaisir primaire du spectateur: l'avocat ridiculisé, le policier véreux, le voleur volé, la très belle femme trompée........ Le scénariste doit jouer avec recul, habileté et humour de tous ces ingrédients qui aboutissent parfois, de manière imprévisible à un navet.
Malgré tout le cinéma américain reflète souvent un esprit pratique et pragmatique. J'ai souvent l'impression qu'il essaye de na pas manquer l'occasion de nous éclairer en faisant passer quelque idées fortes.
J'essayerai enrichir une liste de mes préférés:
1990 : Présumé innocent (Presumed Innocent) d'Alan J. Pakula

vendredi 4 mars 2011

Le trou noir

En fait le propos principal n'est pas la science mais les services secrets.
Là encore je n'ai pas dans ce domaine des compétences solides mais j'ai pu lire quelque livres intéressants comme un documentaire écrit sur Philby (Bruce Page, Phillip Kneightley, David Leitch), une histoire romancée de l'affaire par John Le Carré ( Tinker, Tailor, Soldier, Spy) et aussi le film britanique "the jigsaw man" (Terence Young) et enfin quelque émmissions de radio comme Monsieur X sur France inter.
Pourquoi le trou noir? Parce que - bien qu'un peu trop dramatique- j'aime l'analogie avec cet astre.
Même si la lumière ne peut s'échapper audelà du point de non retour, les trous noirs sont parfois très visibles: lorsqu'un astre est attiré par le trou noir il arrive qu'il se satellise et se disloque à cause de l'effet de marée. Il émmet avant de franchir le point de non retour, un bon paquet de lumière. D'après Jean-Pierre Luminet un trou noir pourrait très bien éxister au centre du soleil et l'univers entier serait aussi un trou noir. Enfin j'ai entendu parler aussi d'analogie entre trou noir et particule.
Le film Spy Game est pour moi un bon exemple de désintégration vécue par un agent.
L'analogie nous rappelle la nécessité de s'éloigner ou d'accélerer pour éviter la satellisation, par crainte de désintégration. Par contre il y a des gens qui sachant ou se trouvent le trou noir, se servent de son attraction pour accélerer la vitesse, relancer la carrière professionelle.
En ce qui concerne Philby, j'ai aussi quelque doutes sur la réalité de sa défection. Je veux dire que j'aurais probablement -si j'avais été soviétique- placé Philby dans une Datcha et continué à l'intoxiquer abondament dans la crainte d'un réveil tardif. ("Les agents communistes étaient parfois beaucoup plus fanatiques que ceux qui les recrutaient").
L'agent double risque sa vie et son honneur et il est parfois obligé de sacrifier les deux pour rester convainquant jusqu'au bout. Seul une poignée connaissant la vérité.

dimanche 27 février 2011

Science et vulgarisation.

Là encore j'enfonce une porte ouverte, pourtant aujourd'hui les scientifiques ont du mal à trouver du personel pour prendre la relève.
J'ai quelque fois assité à des séances de vulgarisation et constaté que -pour probablement suciter des vocations- certain scientifiques n'hésitaient pas a exposer des chiffres astronomiques et les résutats époustouflants des théories dans le but d'impressioner l'assistance.
J'aurais parfois préféré que l'on m'exposes des faits enigmatiques qui suciste la curiosité et j'aurais été probablement beaucoup plus impressioné si l'orateur avait porté une belle mini-juppe couvrant partiellemt de très belles jambes! Dommage que les hommes pardonnent rarement aux femmes d'être à la fois belles, intelligentes et cultivées.
Les vulgarisateurs devraient peut-être cibler le public qu'ils cherchent à toucher. Les étudiants dont la vocation sera basée sur la curiosité et le grand public qui doit comprendre l'importance des chercheurs et des crédits qu'ils leur sont octroyés.
Les chercheurs utilisent-ils des experts en communication, ont-ils étudié l'impact de leur campagne de communication dans le but de l'améliorer?
Autrement dit il faudrait peut-être éviter de présenter aux étudiants qu'ils prospectent des résultats qu'ils sont cencé trouver eux même et suciter discrètement le pur plaisir de la découverte même humble, même si c'est une redécouverte. Etudier les méchanismes psychologiques utilisés dans la publicité. Même les gens intelligents sont influencés par la pub, le sexe et l'humour.
Pour l'étude de l'impact on pourrait peut-être utiliser une bibliothèque avec des ouvrages non scolaires parlant des théories qui ont été évoquées, des club ayant pour thème la science et techniques scientifiques ou même proposer des abonements à des sites internet.Ains on pourrait controller les variations de fréquentation en liaison avec les séances de vulgarisation. Ces sites internet pourraient aussi continuer à influencer et encourager les participants par de la publicité adapté à cet effet. Sans compter que ces outils d'analyse pourraient permettre des faire une préselection de candidats qui pourraient être l'objet - en collaboration avec les professeurs - d'un traitement spécial.
Finallement je vais me laisser aller complètement pour rire : pourquoi ne pas utiliser une bonne séance d'hypnose pendant les séances de vulgarisation pour les persuader malgré les moyens mis à disposition et les perspectives de salaire des chercheurs en France?

On m'a souvent reproché d'avoir quitté l'école, j'estime avoir le droit de répondre de la manière la plus constructive possible en faisant un inventaire de ce qui déjà été tenté - peut-être ailleur - depuis mes dernières séances de vulgarisation ( j'ai 50 ans).

Science et modéllisation.

Voila un sujet avec lequel je risque fortement d'être grotesque.
Pour deux raisons: je risque fortement de dire de grosses conneries et ou d'enfoncer des portes ouvertes.
Il y en a qui vont croire que je me prends pour Einstein!
Tant pis, j'enfonçe la porte ouverte et j'en profite pour dire quelque conneries!

La lumière conserve la même vitesse quelque soit la vitesse de l'objet qui l'emet. Cela me fait penser à un caillou que je jette dans l'eau. Que mon bateau soit immobile ou en route les cercles concentriques qui seront émis par le caillou (bien que je ne l'ai pas mesuré) s'éloigneront du point d'impact à la même vitesse dans les deux cas.Je constate que c'est l'eau qui supporte les vaguelettes, mais alors, comment la lumière arrive-t-elle à se propager dans le vide? C'est peut-être que le vide ne l'est pas. Si le photon peut être dévié par la gravité on doit pouvoir considérer qu'il a une masse et que c'est un forme de matière.
Il se pourrait donc que la matière normale soit - comme le photon- qu'une vaguelette. On peut aussi se demander quelle est la nature du vide qui ne l'est pas. Est-il aussi en mouvement? As-t-il une densité, une masse?
Comment structurer la connaissance pour éliminer les confusions? Peut-on trouver une autre model qui soit plus simple?
La seule expérience de modéllisation que j'ai c'est de construire des progammes. J'ai constaté que si je me trompe en choisissant les briques de base alors je n'arrive pas à dévelloper de manière simple le programme Parceque j'ai fais des confusions en regroupant des concepts différents dans une même sous programme.

Là je pousse beaucoup et j'espère que je ne vais pas m'auto intoxiquer! Mais ça n'a pas d'importance vu le métier que j'exerce.

mardi 22 février 2011

Les animateurs

Le problème avec les animateurs c'est qu'ils ont l'instinct de ce que les gens sont près à gober. Certain -par plaisir- ne peuvent s'empécher d'explorer les limites du jeu . Il peux même arriver qu'un animateur s'intoxique lui même, comme un acteur qui se prend à son rôle. Lorsqu'ils sont très bon cela peut aller très loin avec parfois des conséquences catastrophiques à court terme et à long terme.
Ce que je veux dire -entre autres choses- c'est qu'il faut se méfier du caratère éventuellement démagogique des décisions prises par des animateurs même s'ils peuvent avoir de bonnes aptitudes à évalluer ce que les gens sont près à accepter.

mercredi 9 février 2011

Avertissement sur mes intentions

Il y a tellement de domaines dont j'aimerais parler. Je ne m'interdirai pas d'aborder ceux que je connais très mal et donc de prendre le gros risque de me ridiculiser. Tant pis si les malveillants --et il y en a toujours -- l'utilisent à mes dépend.
J'aimerai parler de technique, d'économie, de science, de politique, de la Bretagne, peut-être même de sexe.
J'aimerais éviter d'être trop grotesque (sauf pour faire rire).
Lors d'un entretient un recruteur m'a demandé de manière provocante "Est-ce qu'on vous a déjà traité de con?" et j'ai répondu l'oeil narquois: "En règle générale on est le dernier à le savoir".
C'est le dilemm éternel: vaut-il mieux être traité de con ou pris pour un con?
Les deux mon général!
C'est à mon avis l'utilité du blog quand on est pas directeur financier et j'espère bien que les gens n' hésiteront pas à répondre et à corriger.